Lors de la création de l’adoption plénière en 1966, le législateur affirmait sa volonté d’inscrire les enfants adoptés dans leur famille adoptive en leur garantissant une totale légitimité, au même titre que les autres enfants. Le statut protecteur de la loi a permis tant aux enfants qu’aux familles de se construire sereinement, bénéficiant de toute la sécurité juridique et affective nécessaire.

Depuis quelques temps, le discours institutionnel remet en question l’adoption plénière.

Les associations d’adoptés (La Voix des adoptés et Racines coréennes) et les associations de familles (EFA et le MASF) ont décidé de faire entendre leur voix pour que la société française reconnaisse enfin l’adoption comme une filiation à part entière et respectueuse des origines des enfants.

Voici  leur communiqué commun (clic) ainsi que la prise de position de Nathalie Parent, présidente d’EFA (clic). 

(Vous les trouverez également en ligne sur leurs sites respectifs : http://www.masf.info et http://www.adoptionefa.org.)